L'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem (Matthieu 21:1-9)
JÉSUS, LE ROI VENU POUR TE SERVIR ET T'ÉLEVER ! (ROI SERVITEUR) (Règne de grâce)
"Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ : lui qui était riche, il s'est fait pauvre à cause de vous, afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis."
(2 Corinthiens 8:9)
Nous diviserons notre méditation sur ce passage en deux parties :
I. LE ROI QUI SERT
II. LE ROI GLORIEUX
I. LE ROI QUI SERT (Roi serviteur)
Jésus, acclamé comme roi, monte vers Jérusalem. Pourtant, nous savons que sa destination finale est le Calvaire. C'est là qu'il manifestera l'apogée de sa grâce et de son amour à travers ses souffrances extrêmes, sa pauvreté et son humiliation profonde (Philippiens 2:5-11).
Il n'avait pas de vêtements (plus démuni que les mendiants au bord du chemin) !
→ Remercions-le si nous sommes bien vêtus ; et nous, pécheurs, il nous revêt de sa justice et de sa sainteté.
Il n'avait pas de chapeau pour se protéger du soleil brûlant, mais une couronne d'épines enfoncée dans son cuir chevelu, faisant couler le sang, afin que toi et moi puissions recevoir une couronne de gloire (Apocalypse 2:10).
Ses mains et ses pieds n'ont pas été soignés dans un salon de beauté ni enduits de crème pour être agréables à voir, mais des clous rugueux les ont transpercés pour l'attacher au bois...
Mon ami(e),
Te sens-tu pauvre, en difficulté, dans la souffrance, seul(e) en ce moment ?
Souviens-toi que ce que tu traverses n'est qu'une goutte dans l'océan de ce que ton Seigneur a enduré !
Et prends courage, car il a déjà vaincu cela et il sait comment te faire triompher dans cette épreuve et cette souffrance ! Si tu traverses une épreuve ou une tentation en ce moment, voici la Bonne Nouvelle pour toi :
"Car du fait qu'il a lui-même souffert en étant tenté, il peut secourir ceux qui sont tentés."
( Hébreux 2:18)
Et je le répète ici : il connaît ce que tu peux supporter (Il connaît tes limites) et ne permettra pas que tu sois tenté au-delà de tes forces ! (1 Corinthiens 10:13)
Et par-dessus tout, son objectif est de t'amener à la joie et à la paix éternelles au ciel ; alors accepte qu'il te purifie de diverses manières afin que tu sois sans reproche lors de son retour dans les nuées ! (1 Thessaloniciens 5:23)
Car nous vivons encore sous le règne de la grâce, et tous ceux qui se repentent reçoivent miséricorde, pardon et entreront véritablement au ciel !
II. LE ROI GLORIEUX
Jésus est véritablement un Roi glorieux, et il a permis au peuple de le louer, en disant :
"Si eux se taisent, les pierres crieront."
( Luc 19:40)
Mais il a aussi dit :
"Mon royaume n'est pas de ce monde."
( Jean 18:36)
Mon ami(e),
Notre Seigneur est vraiment un Roi glorieux ! Roi du ciel, bien qu'il se soit profondément humilié.
Reçois-le comme le Roi de ton cœur et de ta maison !
Ne le méprise pas comme l'ont fait ces gens qui l'ont acclamé, mais, lorsqu'Il n'a pas satisfait leurs désirs en leur donnant du pain pour leur ventre ou en les délivrant de la domination romaine, ont crié :
"Crucifie-le, crucifie-le !"
( Jean 19:15)
Si, par malheur, tu le rejettes ainsi, je suis attristé de te dire que lorsqu'il reviendra dans les nuées avec gloire, il ne te reconnaîtra pas et dira :
"Retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité."
(Matthieu 7:23)
Mais si tu lui rends gloire et le laisses régner et diriger pleinement ta vie, acceptant avec joie ce qu'il veut pour toi, que ce soit facile ou difficile, je te le dis, il viendra à toi dans la gloire et t'accueillera glorieusement dans le lieu qu'il a préparé pour toi (Jean 14:1-3), et tu régneras avec lui pour toujours :
"Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône."
(Apocalypse 3:21)
Soyez bénis,
Dr Lalao R.
Le 11/04/2025
Semaine Sainte
LA CROIX (Luc 23)
(Prédication le mercredi saint 16/04/25)
Nous n’allons pas revenir sur l’atrocité de ce que Jésus a souffert — cette Passion fut l’expression suprême de l’Amour inconditionnel et éternel de Dieu pour l’humanité.
Cependant, j’aimerais attirer votre attention sur deux événements, voulus par Dieu, qui se sont déroulés à Jérusalem ce week-end-là, il y a plus de 2020 ans.
Deux lieux attiraient alors l’attention :
Dans la ville
Jérusalem était remplie de monde, venu de toutes les nations, pour célébrer la Pâque juive.
Ce jour-là, on partageait l’agneau pascal, en souvenir du salut que Dieu avait accordé aux Israélites en Égypte, lorsque le sang de l’agneau, appliqué sur les linteaux des portes, avait épargné les premiers-nés du châtiment de l’ange de la mort.
En dehors de la ville Un autre lieu captait aussi les regards, à l’extérieur de Jérusalem. Un lieu mis à l’évidence pour beaucoup : une grande foule observait, car c’était la plus grande fête juive et des pèlerins du monde entier étaient présents. Sur une colline appelée Golgotha, signifiant “lieu du crâne”, près d’une grande route, bien en vue. Jésus était suspendu à une croix. Il agonisait, son corps meurtri, se vidant de son sang.
Ce moment précis coïncidait avec la célébration de la Pâque juive.
Les responsables religieux complotaient pour tuer Jésus, mais ils ne voulaient pas que cela se passe pendant la fête. Ils auraient préféré avant, mais personne ne pouvait le saisir, ou après, mais Jésus a dit à Judas au moment voulu « Ce que tu fais, fais-le vite ».
Dieu avait Son plan, inaltérable pour l’accomplissement de la prophétie. Rien ni personne ne pouvait empêcher son accomplissement.
Il y a donc à la fois distinction et lien entre ces deux lieux.
Nous nous souvenons de ce que Jean-Baptiste a déclaré en voyant Jésus :
« Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. »
Alors que les Juifs sacrifiaient leur agneau dans la ville, l’Agneau de Dieu était sacrifié hors de la ville.
Selon Hébreux 13:11-13
Le corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur pour le péché, est brûlé hors du camp.
C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.
Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre.
Le sacrifice pour le péché, dans l’Ancienne Alliance, était accompli à l’extérieur.
Il y avait alors deux types d’agneaux :
Mais seul Jésus, l’Agneau sacrifié à l’extérieur, sauve non seulement de la mort physique, mais aussi de toutes les formes de mort que le péché engendre.
Jésus se substitue aux sacrifices de l’ancienne alliance, qui ne résolvaient que partiellement la question du péché, et pour un nombre limité de personnes.
« Il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés. » Hébreux 10:4
« Christ s’est offert une seule fois pour porter les péchés de plusieurs. » Hébreux 9:28
Il devient ainsi la véritable Pâque (1 Corinthiens 5:7).
Jésus, élevé sur la croix, accomplit aussi ce qui avait été symbolisé dans l’Ancienne Alliance :
Nombres 21:9 : « Quiconque regardait le serpent d’airain élevé par Moïse conservait la vie. »
De la même manière, ceux qui regardent à Jésus, élevé sur le bois, reçoivent non seulement la vie physique, mais la vie véritable, abondante et éternelle.
Ce salut est offert à tous, dès ce jour-là, à Jérusalem. Le monde entier y était représenté.
Ce don était universel, afin que chacun puisse repartir chez soi avec cette bonne nouvelle.
C’était un moment favorable, un temps de salut pour le monde.
Mais que s’est-il passé à Jérusalem, face à ce don de Dieu ?
La majorité a rejeté Jésus : ils ont crié « Crucifie-le ! »
Pourtant, beaucoup d’entre eux l’avaient acclamé quelques jours plus tôt en criant « Hosanna ! »
Certains avaient même été guéris ou nourris par lui.
Parmi ceux présents, il y avait des passants, des soldats, les magistrats, Hérode, Pilate et sa femme, le brigand moqueur, les responsables religieux — et la plupart se sont montrés violents à son égard.
Mais comme toujours dans la Bible, un petit reste reste fidèle.
Au pied ou même sur la Croix : les femmes, quelques disciples, un centurion romain, et un brigand repentant, qui ont reconnu en Jésus le Fils de Dieu.
Cela prouve que ce salut est destiné à tous, même aux plus éloignés et aux plus pécheurs.
Et aujourd’hui ?
Malheureusement, cette répartition perdure.
Jésus et la croix sont encore mis à l’écart, en dehors de la vie de la société.
Et pourtant, il se rend visible à chacun.
Mais beaucoup sont indifférents, moqueurs, hostiles. Ils sont trop absorbés par les distractions, les plaisirs éphémères, les fausses sécurités, les relations superficielles ou les richesses trompeuses.
Ils vivent ce que décrit Ésaïe 59 :
« Nous marchons dans l’obscurité… tâtonnons comme des aveugles…
Au milieu de l’abondance nous ressemblons à des morts…
gémissons comme des colombes. Nous attendons la délivrance et elle n’est pas là, le salut, et il est loin de nous …
Car nos transgressions sont nombreuses devant Toi, et nos péchés témoignent contre nous
Nous avons abandonné notre Dieu…conçu et médité dans le coeur des paroles de mensonge»
Et pourtant, Dieu nous dit :
Ésaïe 55:2-3
« Pourquoi dépenser votre argent pour ce qui ne nourrit pas ? Écoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, et votre âme se délectera de mets succulents.Venez à moi, écoutez, et votre âme vivra… Je traiterai avec vous une alliance éternelle. »
Chaque personne a besoin de la délivrance apportée par la Croix.
Et pour Son église ?
Qui serions-nous au pied de la Croix ?
Espérons qu’aucun d’entre nous ne crie : « crucifie-le » ou de manière plus moderne :
« Qu’il se taise, y en a marre ! »
S’Il est encore visible sur la colline, c’est qu’Il a encore quelqu’un à sauver — c’est peut-être moi, peut-être toi.
La Parole nous invite à crucifier avec Jésus tout ce qui nous pèse :
« Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.
Sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché;» Romains 6:4,6
Cette Semaine Sainte est une invitation à faire mourir sur la Croix ce qui ne vient pas de Dieu :
nos péchés (que le Saint-Esprit nous révèle),
nos chaînes, domaines où Satan règne encore,
nos mauvaises habitudes ou caractère qui ne louent pas le Seigneur, addictions,
nos souffrances, maladies, blessures profondes…
Ésaïe 53:4-5 :
« Ce sont nos souffrances qu’il a portées… c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. »
Cela ne signifie pas une vie sans souffrance, mais une vie où Jésus porte avec nous ces fardeaux, nous soutient, nous accompagne — comme l’ange venu à Gethsémané pour encourager Jésus.
C’est cela, le vrai Salut.
La puissance du péché et du mal a été brisée à la Croix.
Vous pourriez dire : « Tout cela ne vaut pas les plaisirs du monde… »
Mais ces choses ne donnent pas le vrai bonheur.
Jésus, Lui, a donné sa vie pour que nous puissions tous les abandonner au pied de sa croix.
Et en retour, Il nous offre :
Romains 6:4 : « Une vie nouvelle. »
Une vie transformée, purifiée, allégée de nos fardeaux.
Une vie remplie de Son Esprit : amour, paix, sagesse, joie, fidélité, espérance, force…
Qui ne voudrait pas cela dans son cœur ?
Si tu penses ne pas en avoir besoin, c’est le mensonge du diable, jaloux du bonheur que Dieu veut te donner.
Mais Dieu, depuis ta création, cherche ton bonheur.
Tout commence dans ton cœur.
Aucun être humain ne peut s’approcher de Dieu par ses propres forces.
C’est l’œuvre du Saint-Esprit : il te convainc, t’attire vers la Croix, là où commence la vie.
Un chrétien qui s’éloigne de la Croix, ne vit pas une vie spirituelle et une relation vivante avec son Dieu.
Il a un besoin constant d’être pardonné pour être proche du Seigneur.
Même le plus mature a besoin de se repentir, car le péché rôde.
Alors soyons humbles, revenons au pied de la Croix, et disons comme David :
Psaume 139:23-24
« Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Éprouve-moi, et connais mes pensées!
Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l'éternité! »
VITA. TOUT EST ACCOMPLI. (Jean 19:30)
Il a fait sa part. Tout est prêt. À nous de venir.
« Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre. » (Hébreux 13:13)
Pasteur Hanta Raveloarimanga
La prière de Saint François D'Assise (1182-1226)
«Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant qu’on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »
C’est ce que Jésus Christ a parfaitement accompli, et il nous exhorte à suivre ses traces. Notre difficulté est de mettre en pratique ce qui est énuméré ci-dessus et que beaucoup de chrétiens ont repris à leur compte. En réalité, nous ne pourrons pas le faire par nos propres forces, mais Jésus Christ peut et veut nous aider. Pour cela, bien sûr, il faut le connaître, lui appartenir et le laisser nous transformer.
« Et c'est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces »1 Pierre 2:21
(Commentaire de « La bonne semence 2025)
Être une femme de prière
Une femme de prière, fait fleurir le désert!
Une femme de prière voit les tempêtes comme des opportunités!
Une femme de prière, n'abandonne pas, insiste-t-elle!
Une femme de prière, ne parle pas, elle agit!
Une femme de prière, transforme une malédiction en une bénédiction
Une femme de prière agit avec sagesse!
Une femme de prière, ne s'exalte pas, elle s'humilie pour être exaltée!
Une femme de prière, elle est discrète, elle connaît sa place.
Une femme de prière dit des mots qui édifient et donnent vie.
Une femme de prière, agit par la foi!
Une femme de prière n'a pas peur, elle a confiance en Dieu!
Une vraie FEMME de prière est celle qui est consciente qu'avec Dieu, elle peut tout faire et que pour avoir des victoires, il suffit d'avoir confiance.
Pour la femme de prière, il n'y a rien d'impossible, car« tout est possible à celui qui croit ».
BONNE FÊTE À TOUTES LES FEMMES !
Esaie 55.12-13
Femme de Dieu, cette promesse est pour toi,
Car tu n'es autre que l'enfant d'un grand ROI !
Tu sortiras de ta maison avec joie, Tu seras conduite à chacun de tes pas!
Montagnes et collines se plieront devant toi,
Et la forêt dans la campagne t'applaudira !
Le ruisseau, à ton passage chantera,
Et le soleil au zénith t'éblouira !
Les oiseaux autour de toi voltigeront
Et les fleurs multicolores t'émerveilleront!
Au lieu de l'épine, le cyprès s' élèvera,
Et la nuit dans ta vie, en jour changera!
Par Celui à qui tu as acheté sans argent,
Pour ton âme, des mets succulents,
Par Celui à qui tu as offert ton coeur,
Jésus qui t'aime et qui t'offre le bonheur!
Bonne fête des femmes !
Dr Lalao RAKOTOMAHANINA
Ce 08/03/2025
Mercredi Saint : Jésus a soif
« Après cela, Jésus, qui savait que tout était déjà accompli, dit, afin que l’Écriture soit accomplie : J’ai soif. » (Jean 19.28)
Selon les chercheurs, c’était entre 15h et 18h (heure actuelle) que Jésus a prononcé cette parole sur la croix.
Cela signifie qu’il était déjà suspendu à la croix depuis plus de six heures, et qu’il ressentait pleinement la douleur et la souffrance de son corps.
C’est ici que nous voyons que Jésus était véritablement un être humain comme nous.
En plus de la souffrance spirituelle et mentale que nous avons abordée lundi (« Jésus et la coupe amère »), approfondissons ici:
LES SOUFFRANCES PHYSIQUES DE JÉSUS :
*Il avait enduré les coups de fouet romains, équipés de fragments tranchants, qui arrachaient la chair à chaque coup, la couronne d’épines, les coups de poing, les gifles, le port de la croix sur son dos meurtri, les clous transperçant ses pieds et ses mains…
*Son corps cloué était en grande souffrance d’un point de vue médical. La position sur la croix est contre-nature (le centre de gravité tirant tout son poids vers le bas), et seuls ses pieds et mains cloués le soutenaient. Cela l'obligeait à lutter, sans pouvoir bouger.
Son ossature semblait prête à se disloquer, la circulation sanguine ne se faisait plus normalement, sa chair était broyée et atrocement douloureuse…
*À cela s’ajoutait la souffrance liée à la SOIF:
Il est important de savoir que 65 % du poids du corps humain est constitué d’eau. Une personne de 70 kg, par exemple, contient environ 45 litres d’eau et 5 litres de sang.
Jésus, dans cet état, est ce qu’on appelle un « blessé grave » ou un "grand traumatisé", qui a un besoin vital d’eau.
Mais son dernier repas où il a bu de l’eau remontait au Jeudi soir, lors de la Cène avec ses disciples.
Après cela, aucun passage biblique ne mentionne qu’on lui ait donné de l’eau — au contraire, les soldats lui ont offert du vinaigre (Jean 19:29), alors qu’il avait perdu énormément de sang et d’eau.
La perte était dûe :
1) A la sueur de sang versée à Gethsémané :
Les scientifiques expliquent que sous un stress extrême, les glandes sudoripares peuvent se rompre au contact des vaisseaux sanguins, produisant une sueur mélangée de sang.
2) Au sang qui coulait lors de la flagellation.
3) Au sang causé par la couronne d’épines.
4) Au sang lié aux blessures par les clous aux mains et aux pieds.
5) Au sang et à l’eau sortis de son flanc transpercé…
--> Il était totalement déshydraté, et ce manque d’eau était une source de souffrance supplémentaire.
Dans les Psaumes, Il s'exprimait ainsi :
"Mes forces s'en vont comme l'eau qui s'écoule,
et tous mes os se disloquent;
mon cœur est comme de la cire,
il se liquéfie au fond de moi.
Ma force se dessèche comme l'argile,
et ma langue s'attache à mon palais;
tu me réduis à la poussière de la mort."
(Psaumes 22.15-16)
Chers amis,
Jésus a accepté d’être vidé de son eau, de son sang, et de sa vie pour nous offrir un DON précieux, une SOURCE vivante et inépuisable, pour nous donner la vie éternelle :
Il dit:
« Celui qui boira de l’eau que Je lui donnerai n’aura jamais soif ; l’eau que Je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau jaillissant en vie éternelle. » (Jean 4.14)
Notre cantique malgache "Mivoaka avy ao Gologota" (256 FFPM) est très expressif :
" De Golgotha jaillit la SOURCE BÉNIE,
Qui appelle les pécheurs...
Les plaies du Sauveur
Constituent une fontaine...
C'est un DON qui sauve
Et purifie..
Le cœur blessé
Qui s’y rend...
Trouve un remède
Et est guéri...."
Cher ami (e),
Toi qui lis ce message, ta vie est-elle desséchée ?
As-tu soif de repos ? Es-tu épuisé par les luttes de la vie ? Accablé par le péché ?
Moi aussi. Allons ensemble à Golgotha, puiser à cette SOURCE BÉNIE, le sang de notre Sauveur,
qui purifie toutes nos souillures, nous soulage de nos fardeaux et ranime notre âme !
Car il n’y a aucun péché qu’Il ne puisse laver,
Aucun fardeau qu’Il ne puisse ôter !
À demain pour la suite.
Soyez bénis.
Dr Lalao R
Ce 16/04/2025
Menatra aho Jesosy Malala
Mazoto mankany am-piangonana
Fa ny fo mbola be fialonana
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Isan’andro mamaky Baiboly
Fa ny saina mbola an’ny devoly
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Kristiana efa vita batisa
Fa mitana fanao jentilisa
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Mitory dia tena mandahatra
Fa ny fiainako angaha resy lahatra
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Mivavaka, manao tsara tafy
Fa any ambadika dia mampirafy
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Midera, mihira choral
Fa mangalatra mamonjy bal
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Maha te ho tia fa mpihira
Hay olona mpaniratsira
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Malaza amin’ny adidy rehetra
Saingy tsy mety miova ny toetra
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Jerena, toa manan-komena
Fa ny betsaka fitiavan-tena
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Deraina fa tena mpiivavaka
Fa indrisy, mpanavakavaka
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Androany aho : ahoana rahalahy
Fa rahampitso angaha fantatro ialahy?
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Any ivelany, maha-te ho havana
Fa ao antrano tsy misy fitiavana
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Nantsoina ho mpiandry ondry
Fa mbola mamely totohondry
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Tsy miandany ambony polipitra
Fa misoko manao pôlitika
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Rehefa midera, manandratra
Fa rehefa mihaingo, mitanjaka
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Raha sitrapo dia mizihitra
Fa amin’ny rakitra kosa, mahihitra
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Fanompoana ety, tsisy tasy
Hay mbola mandray ody gasy
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Mba mifady an’izao sy izatsy
Fa mifikitra amin’ny fanao ratsy
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Ee! kristiana ambony latabatra
Ho andrasan’ny Tompo amin’ny sabatra
MENATRA AHO Jesosy Malala !
Mifona aho fa zanaka adala
Vonjeo aho fa vonon-kiala
Amen!
Mr RAOELIARIJAO